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Pièce Chorégraphique pour 18 danseurs dont 12 participants amateurs

Danse au charme hypnotique, le Madison allie les paradoxes : simple et ludique mais sans espace d'improvisation, populaire et élégant, il y a quelque chose de grisant et d'exaspérant dans la répétition de cette marche ordonnée.

Il est terriblement tentant de dérégler cette joyeuse mécanique.

De soumettre cette géométrie rigoureuse et rassurante à des principes de composition et d'altération jusqu'à ce que le déséquilibre devienne irrésistible.

Puis d'assister avec délectation à la mise en place du chaos...

Conception La BaZooKa (Sarah Crépin/Etienne Cuppens)

Chorégraphie  Sarah Crépin

Danseurs (suivant représentation) Aurore Di Bianco, Claire Laureau, Lilou Robert, Piet Defrancq, Nicolas Chaigneau, Marie Rual, Vincent Le Bodo et 12 participants amateurs recrutés dans les villes d'accueil

Création lumières  Christophe Olivier et Benjamin Lebrun

Création sonore  Etienne Cuppens

Musique  Electrelane

Production  La BaZooKa

Coproduction  Centre Chorégraphique National du Havre, Le Volcan - Scène nationale du Havre

La BaZooKa a bénéficiée de l’aide au projet de la Drac Haute-Normandie pour MADISON.

Durée  1h

Dates précédentes

SAINT-ROMAIN-DE-COLBOSC (76) - Le Siroco - Le Volcan, Scène Nationale - - 2  au 4 nov. 2011

MONT-SAINT-AIGNAN (76)  - Le Rexy - La Foudre - 8 et 9 déc. 2011

PONT-AUDEMER (27)  - 13 janv. 2012  |  L'Eclat

PARIS (75)  - Festival Faits d'Hiver - Auditorium Saint-Germain - 16 janv. 2012

SAINT-LO (50) - Théâtre Roger Ferdinand - - 22 janv. 2012

CANTELEU (76)  - Espace Culturel François Mitterrand -  14 févr. 2013

GONFREVILLE-L'ORCHER (76)  - Espace culturel de la Pointe de Caux -  8 mars et 9 mars 2013

TAVERNY (95)  - Centre Culturel / Festival Escales en Val d'Oise -  12 et 13 avr. 2013

FLERS (61) - Scène Nationale 61 - 30 mai 2013

VIRE (14)  - Le Préau, Centre Dramatique Régional / Festival Ados - 24 au 26 avr. 2014

VERRIERES-LE-BUISSON (91)  - Espace Jean Mermoz / Programmation Théâtre Brétigny - 22 mai 2016

Revue de presse 

« Sarah Crépin ouvre le bal avec son Madison revisité. Une quinzaine de danseurs amateurs et professionnels s’essaient à cette célèbre danse aux pas facilement imitables. Pour cette représentation, les danseurs, habillés en footballeurs américains, font et défont des lignes colorées sur un terrain numéroté. Le Madison prend alors une autre tournure, la danse qui oblige nos pas à revenir au même point, devient oppressante. Les corps de la compagnie sont enfermés dans un schéma répété en boucle. »

 

Clémentine Athanasiadis - Toute la culture.fr

« Pour cette création coproduite par Le Volcan du Havre et le CCN de Haute-Normandie, Sarah Crépin s’est intéressée au Madison, cette danse un peu désuète que l’on pratique encore parfois dans les dancings (...) Sociologiquement, l’exercice est intéressant, car il confronte tous les âges, de 23 à 60 ans, et tous les métiers, de psychothérapeute à chasseur de têtes, permettant à chacun en déclinant son identité de s’en inventer une autre au fil du spectacle (...). L’engagement des interprètes, leur désir de danser et de monter sur scène, la présence physique parfois gauche des danseurs amateurs mais toujours authentique, apporte un supplément d’âme au spectacle. Le concept est suffisamment fort pour supporter l’absence de métier des danseurs amateurs et les cinq danseurs professionnels donnent l’impulsion des mouvements, privilégiant la vitesse et la virtuosité. »

Delphine Goater - La Scène

« Madison évoque la volonté de la bourgeoise américaine des années 1960 de canaliser l’éveil de la sexualité chez les jeunes en leur octroyant une danse qui permet de se dépenser sans contact physique. Pour jouer sur le contraste entre la pulsion kinésique et son encadrement, Sarah Crépin choisit la métaphore du football américain. Au début, danseurs et amateurs, de corps et d’âge très différents, sont assis, comme une équipe avant le match, en maillots stylisés et casques jaunes, pour se lancer dans des déplacements linéaires. Mais et petit à petit, leurs corps se libèrent. La simplicité des structures crée ici un rapport avec la performance, et les costumes, avec les arts plastiques. »

Thomas Hahn - Danser

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