Stravinsky Motel
Un homme, une femme,
un piano, deux pianistes
et un œil quelque part …
Conception La BaZooKa Mise en scène Etienne Cuppens Chorégraphie Sarah Crépin en collaboration avec Claire Laureau et Nicolas Chaigneau Danseurs Sarah Crépin et Nicolas Chaigneau Assistante chorégraphique Claire Laureau Professeure danses sportives Anne Chétoui Pianistes Domitille Bès et Marie-Anne Faupin Ombres Claire Laureau et Alexandre Xénakis Montage vidéo pour écriture chorégraphique Vincent Bosc Musiques Petrouchka et Le Sacre du Printemps d'Igor Stravinsky Sources sonores Psycho, réalisation Alfred Hitchkock, The night of the hunter réalisation Charles Laughton Composition sonore Etienne Cuppens Sonorisation Hubert Michel Création Lumières Christophe Olivier et Maximilien Sautai Régie Vidéo Alexandre Xenakis Construction décor Vincent Le Bodo Réalisation Costumes Salina Dumay Production Emilie Podevin
Production La BaZooKa. Coproduction Espace des Arts – Scène Nationale de Chalon-sur-Saône, Théâtre d'Orléans - Scène Nationale d'Orléans, Le Rive Gauche - Scène conventionnée pour la danse de Saint-Etienne-du-Rouvray Accueil studio Centre Chorégraphique National de Franche-Comté à Belfort Accueil en résidence Centre Dramatique National de Normandie à Rouen, Théâtre d'Orléans - Scène nationale d'Orléans et Théâtre des Bains-Douches du Havre.
Durée 1h15
Stravinsky Motel pose la question d’être à deux, de nos capacités à être ensemble, à cohabiter, à se partager l’espace et le tempo, la possibilité de jouer pour se réinventer.
De l'intrigue sur "Petrouchka" au "Sacre du Printemps" martelée par les pas des danses sportives, les corps des protagonistes évoluent avec fièvre et joie vers une direction commune.
Une oscillation entre le raisonnable et le délirant, le détournement et le tour de magie.
Les musiques pour ballet d'Igor Stravinsky, "Petrouchka" et le "Sacre du Printemps", dans les versions originales du compositeur pour piano "quatre mains", sont jouées en direct et confrontées à la musique, aux sons et aux dialogues de deux monuments du cinéma américain : Psychose et la Nuit du Chasseur.
Extrait
Captation complète - caméra fixe
Dates précédentes
Première Partie
LE HAVRE (76) - 12 au 14 novembre 2014
Théâtre des Bains-Douches
CHALON-SUR-SAONE (71) - 21 au 22 novembre 2014
Espace des Arts
CANTELEU (76) - 19 février 2015
Espace Culturel François Mitterrand
Première et deuxième partie
ORLEANS (45) - 15 octobre 2015
Théâtre d'Orléans
ST-ETIENNE DU ROUVRAY (76) - 13 novembre 2015
CHALON-SUR-SAONE (71) - 1er décembre 2015
Espace des Arts
LE HAVRE (76) - 4 mai 2016
Le Tetris
REVUE DE PRESSE
« Etienne Cuppens et Sarah Crépin dévoilent ici la première partie de Stravinsky Motel, un dytique convoquant les deux pièces phares du célèbre compositeur : Petrouchka et Le Sacre du printemps. Retranscrites toutes les deux pour le piano à quatre mains, ces oeuvres permettent une mise en abyme : un duo, deux pianistes et un piano comme boîte magique. Mais l'idée détonante est d'associer à chaque parution un film. Pour "L'Evasion", Petrouchka, sera confrontée à Psychose. Pas question, bien sur, de jouer du collage, mais plutôt d'entrelacer joyeusement deux atmosphères qui parlent d'illusions...»
Agnès Izrine - feuille de salle / Scène Nationale Chalon-sur-Saône
« Sarah Crépin et Etienne Cuppens sont de fabuleux jongleurs. Les deux fondateurs de La BaZooKa parviennent à créer des univers oniriques, fantastiques qui enchantent, bouleversent, interrogent, amusent. Leurs différentes créations empruntent çà et là à la danse contemporaine, la musique, les arts graphiques... Elles sont toujours le résultat d’une alchimie singulière où la sensualité côtoie l’humour ».
ReliKto.com
« Stravinsky Motel c'est le titre du nouveau spectacle que La Compagnie BaZooKa propose au Théâtre des Bains-Douches. La célèbre scène de la douche du film culte d'Hitchcock, "Psychose", est revisitée et transgressée en chorégraphie sur du Stravinsky joué à quatre mains. Ce Stravinsky Motel signé Etienne Cuppens et Sarah Crépin est en fait un diptyque reposant sur les deux pièces phares de Stravinsky : Petrouchka et Le sacre du printemps. C'est Petrouchka transcrit pour piano à quatre mains qui illustre Psychose en s'appuyant sur la bande originale du film signée Bernard Hermann. Mais attention dans cette version "bazookienne", la victime de Norman Bates renaît pour se retourner contre son meurtrier. Les deux visions s'entrelacent tour à tour dans un jeu de miroir étonnant. »
Jean-Michel Ogier - CultureBox
« La danse est élégante et fluide, enfiévrée et lyrique ».
Nicolas Villodre - Ladanse.com